« Le sonnet d’Uranie, dit-il, fut trouvé beau dès le jour de sa naissance. J’en parle comme ayant été la sage-femme de ce bel enfant, & l’ayant reçu en venant au monde. […] J’ai trouvé le sonnet encore beau, mais non pas si beau qu’auparavant. » Si tous les Uranistes étoient revenus de leur prévention, comme Balzac, ils se fussent couverts de gloire. […] Le roi donna dix mille livres pour le faire imprimer avec de belles planches. […] Une demoiselle, dont la voix étoit fort belle & l’haleine un peu forte, venoit de chanter en présence de Benserade.