Ils eussent eu de commun pourtant, et d’étroitement rapproché, l’adoration du beau antique et quelque chaste draperie des muses de Sophocle et d’Homère. […] Or, un tel rôle était beau dans des circonstances encore paisibles et au milieu de cette espérance unanime de progrès ; c’était, avec plus de candeur d’âme et avec plus d’efforts aussi et d’artifice de talent, quelque chose du rôle d’Horace introduisant dans la langue latine le génie lyrique de la Grèce et enrichissant le Capitole.