Les vers étaient beaux : donc ils n’étaient pas classiques. […] L’homme, en effet, ne change pas quand on passe des Elégies aux Églogues : mais ici l’épicurien mondain du xviiie siècle enveloppe sa conception matérialiste de la vie des sensations fines d’un artiste grec : il traduit en païen son amour de la nature, de la jeunesse, de la vie riante et facile, des beaux corps gracieux et fermes. […] Leroy, Ruines des plus beaux monuments de la Grèce (1758 et 1770).