À la rigueur, si un fragment historique lui paraît sans retouche et sans coup de pouce « beau comme un roman », il peut l’écrire et faire œuvre d’historien avec ses outils de romancier. […] Une très belle anecdote, lentement développée, souligne par l’opposition de ses deux héros l’infranchissable distance de deux civilisations, celle de la mère-patrie et de la colonie : l’aventure se poursuit, sentimentale, de la sous-préfète Clotilde Hardigny, femme d’esprit et de cœur, et du riche interprète arabe, Saïd-bel-hadj-Ali. […] Le vrai roman, le beau roman d’histoire et de légendes !