Quand on aura fini d’en rire, un beau jour on s’apercevra que ce fut comme le réveil, un peu trouble sans doute, de l’éternel esprit classique qui accepte le vrai, mais exige le beau. […] « Romantique il fit vrai, formiste il fit profond, réaliste il fit beau. […] Car le jour où refleurira la belle concordance des genres — poésie, roman, drame (et ce que j’ai dit du roman s’appliquait au drame, développement et conclusion) — tous se seront soumis ensemble à l’idée unique, à l’idée suprême de l’Art et de la Beauté.