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14. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

Mais sa théorie est bien autrement belle et profonde. […] Car une comédie pourrait être parfaite selon la définition, sans être belle, ou belle sans être parfaite. […] Car, remarquez-le bien, elle ne se borne pas à dire : Cette comédie est fort belle ; je la trouve fort belle ; n’est-elle pas en effet la plus belle du monde ? […] Il n’y a point d’idée du beau. […] Êtes-vous ému d’admiration, elle est belle.

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