Mais sa théorie est bien autrement belle et profonde. […] Car une comédie pourrait être parfaite selon la définition, sans être belle, ou belle sans être parfaite. […] Car, remarquez-le bien, elle ne se borne pas à dire : Cette comédie est fort belle ; je la trouve fort belle ; n’est-elle pas en effet la plus belle du monde ? […] Il n’y a point d’idée du beau. […] Êtes-vous ému d’admiration, elle est belle.