Weiss, Perrault est « l’un des beaux génies de son siècle ». […] S’est-on assez extasié sur les femmes de Molière, Éliante, Elmire, Henriette, sur leur bon sens, leur franchise, leur belle santé morale ! […] Weiss nous déclare qu’il se sent « peu de penchant pour elles » Il semblait entendu, établi par une infinité de professeurs et de critiques qu’Esther était une fort belle élégie, mais un drame assez faible : M. […] Il est aussi curieux des mœurs des hommes qu’entêté du beau. […] Le beau de la vie, pour M.