» tandis que les deux marins, dans le crépuscule, rêvent à ces choses graves et tristes, qui sont le passé, l’avenir et la mort. — Il y en a d’autres dont la rudesse et la crudité détonnent et qui s’imposent néanmoins, car, on le sent, elles ont été vécues. […] Et cette question, toute différente de celle que discutent à l’ordinaire ceux qui se posent en réformateurs ou en prophètes de l’avenir, se trouve être une question de moralité. […] La direction du pays, livrée aux caprices arbitraires et aux volontés irresponsables des multitudes, perdait tout souci de l’avenir et toute dignité présente. […] L’avenir répondra. […] Ainsi je me vois entraîné par les convictions de mon esprit vers un avenir qui ne m’inspire ni intérêt ni confiance. » Le dialogue se termine sur cette impression et ne conclut pas.