Et comme nous lui déclarons fièrement qu’il n’y a pour nous qu’un public, non celui du moment, mais celui de l’avenir, il nous dit avec un haussement d’épaules : « Est-ce qu’il y a un avenir, une postérité ? […] Là les heures d’anxiété sont maintenant sonnées par une pendule d’or… Regardant cela, nous pensions à la Cour d’assises de l’avenir, dont les boiseries seront en bois de rose, les panneaux en pékin peint d’un ton riant, et où il y aura une vitrine de petits saxes, que les gendarmes montreront aux accusés, pendant les suspensions d’audience.