Mais, si l’attachement à la Charte vous paraît dangereux pour mon avenir, condamnez-moi dès à présent, car j’ai cru cette conciliation nécessaire entre l’ancien régime et l’avenir de la France ; et si c’est vous offenser que de le dire tout haut dans une occasion solennelle, soyons ennemis dès aujourd’hui ; je ne vous en aimerai pas moins comme un de mes premiers amis. » Nous nous fîmes ces adieux.