L’auteur d’Un An dans le Sahel n’a pas l’antipathie moderne pour la guerre, et il croit à la haine implacable des races, nées ennemies, que toutes les civilisations de l’avenir seront impuissantes à empêcher. […] « Si l’avenir efface le passé, — dit-il spirituellement quelque part, — au moins il excusera le présent, qui a bien besoin d’être excusé !