En effet, dans ce travail, dont le caractère philosophique est si éminemment positif ; les lois les plus importantes et les plus précises des phénomènes thermologiques se trouvent dévoilées, sans que l’auteur se soit enquis une seule fois de la nature intime de la chaleur, sans qu’il ait mentionné, autrement que pour en indiquer le vide, la controverse si agitée entre les partisans de la matière calorifique et ceux qui font consister la chaleur dans les vibrations d’un éther universel.