Quant aux motifs de cette suspension, de juillet 1829 à juillet 1830, le public les connaît : elle a été forcée ; l’auteur a été empêché. […] L’auteur s’est abstenu. […] L’auteur s’en félicite et en félicite le public. […] L’auteur de ce drame, qui est bien fier de leur appartenir, qui est bien glorieux d’avoir vu quelquefois son nom dans leur bouche, quoiqu’il soit le moindre d’entre eux, l’auteur de ce drame espère tout de ses jeunes contemporains, même un grand poëte. […] L’auteur sent le besoin d’expliquer son absence à ceux qui veulent bien se souvenir de lui.