Un essai de réunir ce qui, à une époque donnée, a été découvert dans les espaces célestes, à la surface du globe, et à la faible distance où il nous est permis de lire dans ses profondeurs, pourrait, si je ne me trompe, quels que soient les progrès futurs de la science, offrir encore quelque intérêt, s’il parvenait à retracer avec vivacité une partie au moins de ce que l’esprit de l’homme aperçoit de général, de constant, d’éternel, parmi les apparentes fluctuations des phénomènes de l’univers. » Potsdam, au mois de novembre 1844.