Ce lied angélique, qui semble traduit d’une page d’Edgar Poe, et que Césarine accompagne, sans le savoir, au piano, sur les mesures d’un andante, plairait peut-être dans un roman ; il impatiente, comme un hors-d’oeuvre, dans un drame dont l’action se fait si longtemps attendre. […] » dit Claude, déposant son arme, à Antonin qui attendait sa seconde balle. […] Sur son refus auquel il s’attendait, M. de Montaiglin inscrit son nom sur l’acte, prie sa femme de le sanctionner par son consentement, la remercie publiquement de l’avoir aidé à faire son devoir, entraîne Octave à la table, et le fait signer, comme témoin, l’acte qui annule sa paternité.