Attendez, laissez passer la saison, allez vous figurer qu’ainsi, selon le vieux précepte, vous les laisserez mieux mûrir et que vous saurez les perfectionner en les retardant : erreur et oubli de la fuite rapide des heures, de ces heures qui s’appellent aussi les grâces ! […] S’il souffrait, il le dissimule bien dans ses lettres d’alors à Kestner et à Charlotte, qui, tout à fait fiancés, n’attendent que le prochain printemps pour s’épouser.