On ne s’attachera plus à peindre les sottises humaines, à jouer les ridicules qu’on remarque dans la société. […] Il les compte parmi les plus grands désagrémens attachés à la littérature. […] Les poëtes comiques, selon lui, s’attachent uniquement à tourner la bonté & la simplicité en ridicule, à rendre les vieillards la dupe & le jouet des jeunes gens. […] Les comédiennes font peu retenues ; mais qu’on attache de la considération à leur état, & elles auront de meilleures mœurs.