On mangeait fort bien chez Frédéric Masson et j’y fus admis quelquefois à déguster de remarquables menus, car, comme je l’ai dit, j’entretenais de fort bonnes relations avec ce confrère auquel je me sentais attaché par une sorte d’amitié amusée.
On mangeait fort bien chez Frédéric Masson et j’y fus admis quelquefois à déguster de remarquables menus, car, comme je l’ai dit, j’entretenais de fort bonnes relations avec ce confrère auquel je me sentais attaché par une sorte d’amitié amusée.