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2290. (1933) De mon temps…

On mangeait fort bien chez Frédéric Masson et j’y fus admis quelquefois à déguster de remarquables menus, car, comme je l’ai dit, j’entretenais de fort bonnes relations avec ce confrère auquel je me sentais attaché par une sorte d’amitié amusée.

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