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1257. (1875) Premiers lundis. Tome III « Du point de départ et des origines de la langue et de la littérature française »

Considérant par exemple un mot commun au français, au provençal, à l’italien, à l’espagnol, il s’attache à rendre compte des formes qu’il a prises, à suivre pas à pas chaque lettre qui entre dans la composition. […] Edélestand Du Méril ne voit, dans ce passage et dans l’emploi qu’on y fait des mots de (celtice, gallice, que quelque chose de plus vague ; il n’attribue pas à ces mots d’autre sens que celui de langage grossier ; comme qui dirait : « Parle nous patois, parle nous wetche, pourvu que tu nous parles de Martin. » (Essai philosophique sur la formation de la Langue française, p. 113.) — A si grande distance et dans la pénurie de documents, on s’attache à ce que l’on peut, à des vestiges. […] Prenez-le pour ce qu’il vaut, c’est-à-dire pour fort peu de chose, mais attachez-y, je vous prie, le souvenir de mes sentiments bien dévoués. » « E.

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