Il est devenu un artiste laborieux en vers, au lieu d’être le poète qu’il avait commencé d’être. […] … Faute même de rhétorique, dans toute cette rhétorique qui laisse le cœur froid et n’a jamais consolé personne, pas même le poète qui n’est plus cet énergique fouilleur d’âme que nous avons connu, mais un artiste qui sertissait des mots, quand il fit ces Consolations. VII Et cet artiste en mots a diminué encore (comme le poète dans Les Consolations avait diminué) dans le troisième recueil, publié par M.