Ce livre-là doit vous faire adorer des femmes — et apprécier, applaudir par les artistes. […] La Faustin est une comédienne amoureuse d’un lord, et autour de cet amour gravite tout ce qui a rapport à l’existence d’une grande artiste : ses familiers, les coulisses, les répétitions, les soupers, la vie intime. […] Paris est artiste, Paris est enfant. […] Jouvin, dans un article très bienveillant, affirmait que lorsque j’avais lu la pièce aux artistes, le dénouement n’était pas le même, et que Mme de Birac laissait tuer son mari. […] Que les artistes lisent et relisent cette fiévreuse lettre si pleine d’enseignements pour eux.