Pour ma part, j’aime ces Centaures intellectuels, moitié savants, moitié artistes, et M. d’Héricault en est un… D’une main alerte et compétente, il a touché à une foule de sujets, même au roman. […] Charles d’Héricault pouvait peindre à grands traits, avec les reliefs du style et de la langue et le frémissement d’un artiste, il l’a dit sans s’y arrêter, avec la sobriété voulue, réfléchie et maintenue résolument, tout le temps de son livre, et que je ne puis m’empêcher d’admirer. […] Mais les habitudes du savant, du chercheur, de l’observateur, l’ont emporté sur les puissances de l’artiste.