Il faisait donner les sacrements à la digne nièce de Pascal, Mlle Marguerite Périer, qui mourait à Clermont en 1733 à l’âge de quatre-vingt-sept ans, et qu’un curé moins sage voulait questionner sur certains articles au lit de mort. […] [NdA] On voudra bien ne pas oublier que ces articles parurent d’abord dans Le Moniteur, le lieu le moins propre assurément à une discussion de ce genre sur les mœurs d’un prédicateur éloquent.