En un petit article qu’imprimaient les Entretiens, il précisait les progrès vers l’assouplissement du vers français, depuis — pour prendre une date émouvante et respectueusement significative — la mort de Victor Hugo. […] On n’écrit pas. » III Sans doute, entre la critique de la postérité, soit des esprits assez distants pour rentoiler leurs souvenirs de lecture sur une trame historique adventice, et la critique non même du lendemain mais du matin ou de la veille, dont l’exactitude chaleureuse vaut d’abord en tant que d’intéressante information : citations heureuses presque encore inédites, découpées des « bonnes feuilles », anecdotes sur l’auteur, première impression non refroidie, adresse du libraire… sans doute entre ces deux critiques n’y a-t-il point une place nécessaire pour une tierce et intermédiaire, la nôtre, très contemporaine encore, et point toute fraîche cependant, advenant après, ai-je entendu dire, cent soixante-treize articles imprimés sur les Trophées de José-Maria de Heredia. […] Mais le grand article, l’étude de revue, est-ce compris dans l’enterrement de première classe, avec les fleurs de Vaillant-Rozeau et les chanteurs de Saint-Gervais ?