« Peu de matière et beaucoup d’art », n’est point une devise méprisable ; mais j’estime davantage beaucoup d’art avec beaucoup de matière. […] François Coppée, par exemple, et l’art poétique de M. […] quel saint amour de l’art ! […] L’art contemporain est malade ; il souffre, il est inquiet, altéré, consumé. […] Au reste, je me moque de l’art et des arts.