Il reproche encore au païen que fut Taine de rester insensible et, pour ainsi dire fermé, à la beauté idéale de l’art chrétien. […] N’est-ce pas limiter trop jalousement le domaine de la poésie que de n’admirer pas résolument, dans son impeccable expression, le légitime orgueil de l’Art pour l’Art ? […] Tous ces « visages », retracés avec art et avec vérité, attirent le regard et le retiennent longuement. […] L’Art poétique. — XIV. […] L’Art n’est pas d’éparpiller son âme : Est-elle en marbre ou non, la Vénus de Milo ?