Telles les qualités françaises et incorrigiblement françaises qui, dans le grand art du roman qu’il abordait, sont des défauts immenses, et qui firent immédiatement réussir Le Sage. […] Il est un des premiers parmi ces amuseurs : car je ne consentirai jamais à les nommer des romanciers, ceux qui précipitent l’art jusqu’aux foules, et le dégradent en le faisant populaire.