Admettons, si nous tenons toujours à cette fiction, que l’art est libre. […] Il n’y a pas d’art sans civilisation ni sans goût, et, par suite, sans contrainte et sans choix. Il n’y a pas d’art dans une atmosphère lourde et sous les regards d’un public barbare. […] Observons immédiatement que la formule « art dramatique » ne nous est pas nécessaire pour poursuivre l’entretien. […] Chez ceux-là, elle représente la société, et l’art chez celui-ci.