En 1749, l’Académie de Dijon met au concours la fameuse question : Si le progrès des sciences et des arts a contribué à corrompre ou épurer les mœurs. […] Or n’est-ce pas à l’éclat des lettres et des arts que se mesure la civilisation d’une société ? […] Ne voit-on pas partout les arts et les lettres en relation étroite avec le luxe, avoir besoin du luxe ? […] Et ici apparaît la vérité profonde enfermée dans le paradoxe qu’il soutient contre les arts et les lettres. Les arts et les lettres, s’ils ne sont pas des agents de corruption, sont des facteurs importants de l’inégalité566.