les traits fins arriveront : ils arrivent en effet, mais tout cela sent un art bien neuf et bien élémentaire. […] Imaginez un militaire de courage et de talent qui a peut-être en lui de quoi gagner dix batailles, de quoi s’illustrer s’il arrive au premier poste, et qui, pour un travers incurable, se crée toutes sortes d’entraves et des impossibilités. […] pas encore pour cette fois. » Et cette autre fois n’arrive jamais. […] Quand de la place Maubert à la rue Montorgueil, où elle logeait, il allait voir certaine veuve qui avait pour lui des bontés, et que pour arriver moins crotté devant elle (les chaises et les galoches, qui furent une ressource quelques années plus tard, n’étaient pas encore inventées), il prenait un cheval de louage, on lui disait en le rencontrant : « Où vas-tu, chevalier ?