Notre étude doit demeurer sans conclusion : les faits sont trop près de nous et nous ignorons trop ce qui sera demain, pour qu’il nous soit permis d’arrêter en quelque sorte à ce jour le compte de la littérature. […] Dans la confusion actuelle de la production poétique, je distingue deux choses : une réaction d’abord contre les formes arrêtées, dures, métalliques ou marmoréennes de la poésie parnassienne.