La raison ni les principes n’arrêtent jamais les premiers ; ils se permettent tout, et ils obtiennent tout. […] Ce sont les idées qui me venaient à l’esprit en lisant les lettres de Mme de Créqui à M. de Meilhan, et en réfléchissant sur cette ancienne société dont elles nous rendent un moment la note rapide et précise, le dernier mot aigu et arrêté.