Il quitte Baïf, revient à Mme Swetchine, se repose avec Théophile Gautier, caresse l’antiquité, coquette avec la nouveauté, effleure tout, illumine tout, ne se contredit jamais, se modifie sans cesse, fait étinceler les points saillants, arrive aux profondeurs, ne s’y attarde pas, et ne s’arrête que si un scrupule de millésime ou une erreur de nom propre le met en désarroi.