En effet, ce sont des enfants qui, arrêtés dans leur croissance, ont gardé la simplicité, l’indépendance et la beauté du premier âge. […] Qui est-ce qui ne s’est pas arrêté, en passant sur une route, auprès d’une pauvre plante, d’un buisson solitaire qui pend, demi-déraciné, le long d’un talus ? […] Nous ne nous y arrêtons point avec une précision grossière. […] qui m’arrêtera sous vos sombres asiles ! […] Il va vers son ennemi d’une course droite et roide, comme une machine lancée qui ne s’arrête plus.