/ 2355
1484. (1908) Promenades philosophiques. Deuxième série

Poincaré), et les calculs seuls sont dignes d’arrêter le savant. […] Dans le second cas, le sphex, sûr de sa science, s’arrête toujours au troisième coup. […] De quelque côté que nous nous tournions, nous voyons se dresser l’obstacle qui, certainement, nous arrêtera. […] Sa raison veille et l’observé ; elle saura l’arrêter au moment voulu, l’incliner à la réflexion, le rappeler à la logique. […] Mais rien n’arrête l’esprit religieux.

/ 2355