Une seule de ces qualités fortement prononcée dans une composition nous arrête et nous touche ; quel ne doit donc pas être l’effet de leur réunion et de leur contraste ? […] Le temps s’arrête pour celui qui admire. […] Mais il y a trop d’importuns ; je m’arrête, je regarde, j’admire et je passe. […] Un mauvais tableau de famille la tient bouche béante, elle passe devant un chef-d’œuvre, à moins que l’étendue ne l’arrête. […] Si vous envoyez ces feuilles à des femmes qui n’aient pas les oreilles faites, avertissez-les d’arrêter là, ou de ne lire ce qui suit que quand elles seront seules.