Jules Lemaître, les petits-fils de Vercingétorix s’avisèrent que le cette était une langue sans utilité commerciale ; ils apprirent le latin très volontiers. […] Jules Lemaître juge ainsi que du temps perdu les années passées au collège à « ne pas apprendre le latin » ; mais il ne s’agit pas d’apprendre le latin : il s’agit de ne pas désapprendre le français. […] Je résumerai en un mot ma pensée : le peuple qui apprend les langues étrangères, les peuples étrangers n’apprennent plus sa langue.