L’aînée se présenta alors ; elle s’appelait Aglaé. […] — Ce village, dit-il en regardant, est celui où je suis né, on l’appelle Prissé ; le château en face est celui de Monceau ; il appartient à M. de Lamartine, fort aimé dans le pays parce que, bien qu’il ait un beau château pour demeure, il a, dit-on, le cœur d’un paysan. […] Ce monsieur s’appelle M. […] Après une longue station au bord de l’eau, la petite fille nous conduisit sur la rive du bois, et un grand chêne qu’on appelle le chêne de Jocelyn, du nom du livre où ce poëme fut écrit. […] Nous redescendîmes par un joli hameau champêtre appelé le village de la Nourrice, du nom d’une pauvre femme qui donna son lait à votre charmante fille.