C’est que la Révolution, qui descend toujours, cette Révolution appelée momentanément la Révolution Française, en attendant qu’elle se nomme la Révolution européenne ou la Révolution universelle, était déjà là-haut, — au cœur même de la Royauté. […] Le froid de la politique d’une impératrice qui appelait son empire son petit ménage, resserrait le cœur qui aurait pu se dilater.