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1620. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 juillet 1885. »

» auprès du monologue grandiose de Brünnhilde, dans la Tétralogie, alors que le drame à son apogée, éclate en une intensité pleine d’allégresse, et évoque, comme la fin de Tristan, la vision d’une transfiguration radieuse, produite par cet optimisme pur qui s’appelle foi et amour, et surgie des profondeurs même de l’âme humaine ! […] Parsifal, « le miracle », comme l’appelle éloquemment l’illustre compositeur Franz Liszt, ne doit être représenté qu’à Bayreuth, dans le Temple même de l’Art. […] Carl Heckel, de Mannheim, avait réuni, dans sa ville, une société de Wagnéristes, qui s’appela « Wagner-Verein », et fut le premier cercle Wagnérien. […] La science au contraire utilise ce qu’il appelle le « scalpel dualiste », qui dissèque la vie et la tue en même temps qu’il essaie de la connaître. […] , p. 53. et le second de Schopenhauer qui écrit dans Le Monde comme volonté et représentation : « L’intuition n’est pas seulement la source de toute connaissance, elle est la connaissance même χατεξοχην ; c’est la seule qui soit inconditionnellement vraie, la seule que l’homme s’assimile réellement, qui le pénètre tout entier, et qu’il puisse appeler vraiment sienne.

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