Il adressa une lettre à Mademoiselle pour la remercier et la féliciter de sa prouesse : « C’est un coup qui n’appartient qu’à vous, lui écrivait-il, et qui est de la dernière importance. » Comme on lui rendait compte d’un conseil de guerre auquel elle avait assisté et où elle avait donné son avis : M. le Prince dit que les résolutions prises dans un conseil où j’avais bien voulu être devaient être suivies, quand elles ne seraient pas bonnes, mais que celles que l’on avait prises étaient telles que le roi de Suède (Gustave-Adolphe !) […] Elle appartient, par son tour d’imagination, à la littérature de la fin de Louis XIII et de la Régence, à la littérature de l’hôtel Rambouillet, et qui n’a pas subi la réforme de Boileau ni celle de Mme de La Fayette.