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39. (1824) Observations sur la tragédie romantique pp. 5-40

Ces transfigurations appartiennent à un tout autre genre de spectacle. […] C’est même un genre d’effet dont la tragédie a peut-être besoin ; il n’appartient qu’à la comédie de se rapprocher si fort de nos allures actuelles. […] Leur délire appartient à la vraie tragédie, mais l’apparition des furies, des spectres et des ombres, à nos propres yeux, n’est que l’Opéra. […] Parmi les diverses manières de poser la question entre le classique et le romantique, il en est une qui n’appartenait qu’au génie, c’était de faire Agamemnon et Jane Shore. […] que des conceptions si audacieuses ne s’empruntent pas, et qu’il n’appartient de les exprimer parfaitement qu’à celui qui les invente.

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