Il y a dans cette lettre bien des choses qui méritent qu’on s’en souvienne toujours : « Quant à moi, lui dit-il, qui ne veux rien au-delà de ce qui m’appartient, je tourne les yeux de tous côtés pour trouver sur quoi est fondé l’honnête remercîment que vous me faites… Je vois bien que l’on vous a dit que je défendis votre cause.