Il appartient à la fois aux dieux invisibles et aux muses. […] Charles Morice est très jeune, il appartient lui-même à la littérature de demain. […] Je ne crois point que la génération à laquelle j’appartiens ait fait une œuvre mauvaise. […] La langue n’appartient pas en propre aux lettrés. […] Cette maxime ne lui appartient pas en propre : elle est courante parmi les poètes.