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1121. (1890) La vie littéraire. Deuxième série pp. -366

Il appartient à la fois aux dieux invisibles et aux muses. […] Charles Morice est très jeune, il appartient lui-même à la littérature de demain. […] Je ne crois point que la génération à laquelle j’appartiens ait fait une œuvre mauvaise. […] La langue n’appartient pas en propre aux lettrés. […] Cette maxime ne lui appartient pas en propre : elle est courante parmi les poètes.

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