Les frères de Goncourt, de leur côté, avaient coutume d’apercevoir la nature à travers un tableau de musée ; ils disaient couramment d’un paysage : c’est un Van der Meulen, un Corot, un Ruysdaël. […] On y aperçoit bien vite un pessimisme violent qui n’est autre chose qu’une tendance à rabaisser l’homme et à dégoûter de la vie.