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537. (1855) Louis David, son école et son temps. Souvenirs pp. -447

La première fois qu’il l’aperçut, ce fut à la fameuse fête de l’Être suprême (20 prairial an II. — 8 juin 1794). […] C’est bon, c’est bon, je suis toujours content quand je m’aperçois qu’un homme a des goûts bien prononcés ; c’est toujours bon signe. […] Rien, si ce n’est le dévouement d’un honnête homme en délire et trompé par des scélérats… Tu t’en apercevras, David ! […] « Je me suis aperçu, mon cher ami, que j’avais commis une erreur dans l’envoi de vos couleurs. […] Ces misérables étaient si acharnés à détruire qu’ils ne nous aperçurent même pas.

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