Car d’Olivet a pour le moins des velléités d’indépendance ; il a parfois de l’aperçu, de la netteté, de la lumière, tandis que Pélisson a la peur blême de l’amour-propre de sa compagnie, et s’étouffe de circonspection.
Car d’Olivet a pour le moins des velléités d’indépendance ; il a parfois de l’aperçu, de la netteté, de la lumière, tandis que Pélisson a la peur blême de l’amour-propre de sa compagnie, et s’étouffe de circonspection.