Dans l’ignoble taudis d’un brocanteur, Kobus Barent aperçoit des tableaux et gravures du Maître. […] Gilkin est obsédé par les idées de débauche et de mort ; il aperçoit partout la ruse, la haine et décrit une bien triste humanité. […] Il aperçoit les routes et les bois, les foules et les villes à travers une perpétuelle hallucination. […] Pour s’assimiler toute la pensée de Maeterlinck, il convient d’apercevoir la vie même à travers ses drames. […] Il aperçoit le Droit à chaque instant, et partout, au hasard de la vie quotidienne ; il veut suggérer l’idée du Droit aux jeunes gens en les obligeant à observer autour d’eux.