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725. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur Théodore Leclercq. » pp. 526-547

Fiévée, son aîné de quelques années, et que commença entre eux cette union durable qui subsista plus de quarante ans et que la mort seule a brisée. […] Ils ont amusé… Quelques années après, dans une réimpression et une édition nouvelle, cette préface si simple, si bienveillante, s’est un peu corrigée, et M.  […] Une belle veuve, après quelques années de veuvage, s’est décidée à se remarier. […] Les dernières années de sa vie, entourées et consolées d’ailleurs des soins de la plus aimable et affectueuse famille, s’écoulèrent dans des infirmités cruelles, qui ne lui arrachèrent pas une plainte. Trois années de paralysie ne lassèrent point sa patience et sa résignation.

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