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535. (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Taine — VII »

Le jeune parçon resta jusqu’à sa onzième année dans la maison paternelle ; son père lui enseignait les premiers éléments du latin, et un oncle lui apprenait l’anglais. […] Taine, dans ses dernières années ; elle a été vérifiée par Maurras, qu’avait distingué ce grand esprit, et par Bourget, qui fut de ses familiers. […] Tout cela, c’est le Taine des dernières années qui allait mourir du diabète à soixante-six ans.

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